Dès juillet 1884, la fonderie changea à nouveau de raison sociale. Fritz Baud, qui à l'origine avait été le principal promoteur de la nouvelle fonderie, avec ses frères Louis et Gustave, assura la direction de l'entreprise sous le nom de "Fritz Baud & Cie" et contribua à son développement ascensionnel.
En 1887, lors d'une visite en Valais qui avait lieu chaque deux ans, M. Henri Etienne, inspecteur fédéral, jugea obligatoire l'inscription de l'usine d'Ardon au registre des fabriques : elle fut à l'époque le quinzième établissement inscrit au registre valaisan.
Vers 1890 la fonderie fut agrandie et un nouveau cubilot installé.
Le personnel, composé de 6 ouvriers en 1892, passa à 15 en 1896.